« Il y a toujours eu, quelles que soient les générations, des médecins empathiques et d’autres qui le sont moins. Quand ça se passe mal, c’est généralement le fait de gynécologues qui travaillent comme on le leur a appris il y a quarante ans. Qui croient encore au consentement tacite. Ou qui estiment qu’une femme qui prend place sur une table de consultation sait à quoi s’attendre. »
Israël Nisand, professeur émérite de gynécologie obstétrique In Le Monde, « Pouvez-vous me conseiller un gynécologue non violent ? » : face aux craintes de certaines patientes, l’embarras des praticiens. Des accusations de viol contre des praticiens ont relancé le débat sur les violences obstétricales ou gynécologiques. Des médecins racontent comment les consultations ont évolué vers davantage de pédagogie et d’écoute, reconnaissant aussi le manque d’empathie de certains soignants mais s’inquiétant d’un « gynéco bashing ».
Vers un plan Maladies rénales ? Le think tank UC2m met en avant le dépistage précoce
La prescription d’antibiotiques en ville se stabilise
Le Parlement adopte une loi sur le repérage des troubles du neurodéveloppement
Chirurgie : les protocoles de lutte contre l’antibiorésistance restent mal appliqués, regrette l’Académie