Le centre hospitalier du Val d’Ariège (CHIVA) a porté plainte contre les auteurs d’une fausse alerte ayant mobilisé une équipe du SAMU. L’établissement demande le remboursement des frais engagés et des dommages et intérêts, selon « la Dépêche », qui relate cette affaire dans son édition en ligne.
Lundi 15 janvier, le SAMU reçoit un appel lui signalant qu’une jeune femme de 23 ans est victime d’un arrêt cardiaque. Une équipe est dépêchée sur place alors que d’autres secours sont déjà mobilisés à l’autre bout du département pour un accident grave. En arrivant sur les lieux, le SMUR découvre qu’il s’agit d’une fausse alerte. Un groupe de personnes les accueillent hilares… Le CHIVA déplore un comportement « inadmissible », qui aurait pu avoir de graves répercussions, écrit « la Dépêche ».
Le sport santé en étendard pour la Dr Stéphanie Motton, porteuse de la flamme olympique
Aide active à mourir : le critère de pronostic vital remplacé par celui d’« affection en phase avancée ou terminale » en commission
Ehpad publics : 15 maires bretons attaquent l’État pour non-respect des droits fondamentaux des résidents
Violences sexistes et sexuelles : la Pr Agnès Buzyn se paye l’Ordre pour avoir « trop souvent protégé » les harceleurs