Une semaine après le rapport accablant de l’Agence américaine antidopage (USADA), qui l’accuse d’avoir organisé « le programme de dopage le plus sophistiqué jamais vu dans l’histoire du sport », Lance Armstrong a annoncé qu’il démissionnait de la présidence de sa fondation de lutte contre le cancer, Livestrong. Fondée en 1997 sous le nom de « Lance Armstrong Fondation », Livestrong a amassé près de 500 millions de dollars grâce au « leadership de Lance » reconnaît Doug Ulman l’actuel président directeur général.
Armstrong a choisi de s’éloigner afin de la préserver des dommages collatéraux et lui « épargner les effets négatifs liés à la controverse entourant (s)a carrière de cycliste ». Ce retrait intervient à deux jours du début des festivités marquant le 15e anniversaire de Livestrong, à Austin (Texas), alors que les principaux sponsors comme Nike, Trek et Anheuser-Bush ont décidé de mettre fin à leur partenariat avec l’ancien champion cycliste. En revanche, ils maintiennent leur soutien à la fondation.
La décision de la Fédération internationale de cyclisme (UCI) d’entériner ou non les sanctions prises par l’USADA est toujours attendue.
Vers un plan Maladies rénales ? Le think tank UC2m met en avant le dépistage précoce
La prescription d’antibiotiques en ville se stabilise
Le Parlement adopte une loi sur le repérage des troubles du neurodéveloppement
Chirurgie : les protocoles de lutte contre l’antibiorésistance restent mal appliqués, regrette l’Académie