Tout l’enjeu chez l’adolescente est de porter le diagnostic de l’endométriose, qui est souvent tardif. Il doit être évoqué en cas de dysménorrhée sévère… En se rappelant que toute dysménorrhée n’est pas une endométriose. Il faut également éviter les chirurgies itératives, telles que cœlioscopies ou kystectomies répétées, et penser à préserver le capital osseux. Le pic de masse osseuse est atteint vers 16 ans et il faut donc éviter les traitements à risque de déminéralisation.
En l’absence d’études spécifiques et par analogie avec l’adulte, les contraceptions orales estroprogestatives et microprogestatives sont recommandées en première intention. En cas d’échec, un avis spécialisé est recommandé. Les agonistes de la GnRH ne sont pas recommandés en première intention et ne doivent pas être prescrits avant 16 ans (18 ans dans l’AMM).
Adolescentes, priorité au capital osseux
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Publié le 29/01/2018
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Source : Le Quotidien du médecin: 9635
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