Les échelles clinicobiologiques n’aident pas que les prescripteurs mais aussi les patients à décider de leur traitement. C’est ce que suggère la HAS dans une note de cadrage. « (Les scores de risque) peuvent être (…) utiles comme support pédagogique », avance l’instance. Pour faciliter le dialogue, le Pr Ghannem évoque des scores non pas centrés sur le risque mais sur le « gain de survie en cas de correction (des) facteurs de risque ».
Le Dr Drahi décrit d’autres outils plus parlants encore, à l’instar d’un simulateur disponible en ligne. Ce dernier « propose d’introduire virtuellement une intervention, et de visualiser la réduction du risque qui s’ensuit, voire de mettre en balance de potentiels effets indésirables et finalement de partager la décision informée avec le patient », résume-t-il.
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