Deux femmes ont permis le développement de l’hypnose en anesthésie moderne.
Alice Magaw, infirmière anesthésiste des frères Mayo, chirurgiens américains, a pratiqué en 1906 plus de 14 000 anesthésies sans décès, grâce à une communication empathique avec suggestions positives permettant la baisse des besoins en chloroforme ou éther.
Le Pr Marie-Élisabeth Faymonville a démontré en 1999 les bénéfices multiples de l’hypnose associée à une sédation légère et à une anesthésie locale chirurgicale en comparaison d’une anesthésie générale en chirurgie cervicale endocrine (3).
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