On assiste en France à une diminution d’incidence des cancers de mauvais pronostic et une augmentation d’incidence des cancers de bon pronostic, cette augmentation étant liée, en partie,
à des modifications des pratiques médicales qui entraînent des diagnostics plus précoces. Globalement, on constate une baisse de la mortalité par cancers entre 1980 et 2012.
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