Un arrêté, publié en décembre 2017 au JO, a défini les nouvelles conditions de prise en charge de la pression positive continue (PPC). Sa prescription requiert dorénavant la présence d’au moins trois symptômes caractéristiques (somnolence diurne, ronflement, épisodes de suffocation au cours du sommeil, fatigue le matin, nycturie et céphalées matinales) et une polygraphie ventilatoire témoignant de 30 éléments anormaux par heure de sommeil (apnée, hypopnée).
Elle est également autorisée face à un enregistrement type III de 15 à 30 anomalies respiratoires par heure, chez des patients à haut risque cardiovasculaire ou avec BPCO sévère ou asthme mal contrôlé.
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