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Le bon contrat de prévoyance : des garanties adaptées à votre situation

Publié le 23/11/2015
Le bon contrat de prévoyance : des garanties adaptées à votre situation

Le bon contrat de prévoyance : des garanties adaptées à votre situation
Crédit photo : ©Fotolia

Médecin libéral , 35 ans, célibataire, sans enfant, exerçant seul en cabinet

Si, un jour, ce médecin se trouve en arrêt de travail, qu’il s’agisse d’une incapacité temporaire totale ou d’une invalidité, il ne pourra pas compter sur son conjoint ou toute autre personne pour compenser la perte de revenus subie, lui seul assurant ces derniers. Il apparaît donc indispensable qu’il opte avant tout pour une garantie lui permettant de faire face à une telle situation.

Recommandation

• En premier lieu, préconiser une couverture maximale, tant au niveau des indemnités journalières que de la rente d’invalidité, en tenant compte des revenus professionnels et des prestations versées par le régime obligatoire, à savoir la Caisse autonome de retraite des médecins de France (CARMF).
• Couverture également des frais professionnels de façon à faire face aux dépenses courantes et permanentes du cabinet (loyer, charges, salaires…).
• N’ayant ni conjoint ni enfant, la garantie décès ne présente dans ce cas pas d’intérêt. En lieu et place de celle-ci, opter pour un Capital Invalidité Totale qui sera versé si la personne se retrouve en état d’invalidité permanente totale et donc dans l’incapacité d’exercer sa profession de médecin. Ce capital peut alors aider à s’équiper (maison, voiture…) ou à se reconvertir.
• Ne pas oublier la garantie exonération du paiement des cotisations qui prévoit la prise en charge des cotisations d’assurance dès que l’assuré reçoit des prestations.
 
 

Couple de médecins, d’un peu plus de quarante ans, avec deux enfants âgés de 12 et 10 ans

Entre les deux conjoints, les revenus sont ici assez équilibrés. En revanche, les enfants sont encore jeunes et il est important d’assurer leur avenir.

Recommandation

• Être prévoyant sur le décès et, notamment, par rapport aux enfants. Chacun des conjoints peut ainsi souscrire une rente éducation au profit des enfants. Rente qui sera versée jusqu’à 28 ans maximum et leur permettra de poursuivre leurs études.
Préférer l’option d’un capital décès, lequel se révèle souvent utile dans ces circonstances, à celle d’une rente de conjoint, plus opportune lorsque le conjoint ne travaille pas.
• Prévenir la perte de revenus professionnels liée à une incapacité temporaire de travail et à une invalidité pour garantir le niveau de vie familial.
Possibilité
• La souscription d’un Capital Confort Invalidité peut être envisagée car elle permet de faire face à l’émergence de nouveaux besoins résultant de l’état d’invalidité permanente (équipement de la maison, voiture…).
 

Médecin, 51 ans, une épouse ne travaillant pas et trois enfants dont un toujours à charge

Les ressources familiales ne reposent que sur les revenus professionnels du mari qui est, par ailleurs, le seul à gérer les finances du foyer.

Recommandation

• Par rapport au décès, opter pour une rente de conjoint. Une solution simple qui assure au conjoint une rente régulière, d’un montant connu et déterminé par l’assuré au moment de l’adhésion, et sa vie durant. Le montant pourra être revalorisé tous les ans. Cette option est à préférer au versement d’un capital décès dont la gestion ne sera pas forcément évidente pour une personne non impliquée dans le domaine financier jusque-là.
• Toutefois, cette option peut être complétée par un peu de capital décès qui permet de disposer d’un peu de liquidités qui sont souvent utiles durant cette période, pour  faire face aux éventuels droits de succession par exemple.
• Prévoir une rente éducation pour l’enfant restant à charge. Il en est le seul bénéficiaire, ce qui lui assure une certaine indépendance, quelle que soit l’évolution de la situation familiale.
• Se garantir contre l’incapacité de travail et l’invalidité au maximum.
 

En conclusion

Quelle que soit la situation, l’incapacité de travail et l’invalidité sont une constante de la prévoyance ; elles sont la base d’un contrat et doivent bénéficier d’une bonne couverture pour assurer le présent et l’avenir. Car, même s’il existe un patrimoine, l’idée est de ne pas ponctionner ce dernier et de le préserver en vue de compléter sa retraite, de préparer la transmission de son patrimoine…..
C’est au niveau du décès que le choix peut s’opérer en fonction du contexte familial. Selon la présence ou non d’un conjoint, son âge, sa situation, la présence ou non d’enfants, leur âge, on optera plus volontiers pour un capital décès, une rente de conjoint, une rente éducation ou une combinaison de garanties. La souscription d’un contrat de prévoyance relève d’une démarche positive qui doit amener à se poser les bonnes questions pour pouvoir apporter les bonnes réponses.
Il ne faut pas hésiter à rencontrer des conseillers experts  qui sont là pour aider à effectuer le diagnostic et proposer les solutions pour une protection  optimale.
 
Rita Devise
 






Source : lequotidiendumedecin.fr