LE SYNDICAT national des gynécologues médicaux libéraux - dit « Gynécos de France » (SGL) - vient de voir le jour. Celui-ci a pour objet de défendre les 1 800 praticiens de la spécialité et « répondre à leur inquiétude » quant à l’avenir de leur discipline. Le Dr Yanick Leflot-Savain, gynécologue médicale à Amiens, a été élue présidente du SGL. Le syndicat redoute que l’inscription dans la loi Hôpital, patients, santé et territoires (HPST) de la notion de médecine de premier recours ne se limite à la seule médecine générale. « Il est essentiel que les gynécologues médicaux continuent à être les médecins de premier et de second recours en fonction des besoins de leurs patientes », indique le syndicat. L’évolution démographique de la discipline, avec chaque année l’ouverture de seulement 20 postes d’internat spécifiques, inquiète par ailleurs la nouvelle organisation qui juge ces chiffres « insuffisants pour assurer le renouvellement des générations ». « Cette disparition programmée de la spécialité de gynécologie médicale représente un risque pour la santé publique », conclut le SGL.
Naissance du SGL
Les gynécologues médicaux créent un nouveau syndicat
Publié le 04/05/2009
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Le Quotidien du Mdecin
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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