Le Collège national des gynécologues estime que l’intérêt médical du toucher vaginal est sans équivoque. « Son remplacement par des examens d’imagerie plus coûteux serait l’inverse d’un progrès…Elle ne peut venir qu’en complément de ce dernier lorsque c’est nécessaire. » Le collège considère que l’apprentissage des touchers pelviens doit se faire d’abord sur mannequin. Lorsque cet apprentissage se déroule en situation « réelle », le collège distingue deux situations. Dans l’une, le toucher vaginal est nécessaire à la prise en charge médicale et l’étudiant, sous le contrôle de l’enseignant, contribue à cette prise en charge. Dans l’autre, le toucher vaginal, déjà réalisé une première fois par le praticien, est répété aux seules fins d’apprentissage de l’étudiant. Dans ce cadre, « il s’agit d’une pratique licite à partir du moment où elle est faite avec le consentement de la patiente et qu’elle n’est pas répétée de façon multipliée ».
Touchers vaginaux
Les règles de bonnes pratiques du CNOF
Publié le 10/12/2015
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9457
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