L’enquête ENFAMS, réalisée le SAMU social en 2013 chez des enfants et des familles sans logement personnel, avait déjà souligné les difficultés rencontrées par les femmes migrantes en matière de santé : renoncement aux soins primaires, insécurité alimentaire, violences conjugales, fréquence des syndromes dépressifs et grossesses déclarées tardivement et moins suivies.
La situation semble depuis s’être encore dégradée et un nouveau projet, de recherche interventionnelle, DSAFHIR, vise à mieux identifier les risques spécifiques des femmes migrantes en situation de vulnérabilité, analyser les freins rencontrés dans l’accès aux soins et évaluer des interventions pilotes.
D’après la communication d’Armelle Andro, Paris
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