La FMC (formation médicale continue) et l’EPP (évaluation des pratiques professionnelles) concernent tous les médecins. L’ensemble des hôpitaux et des cliniques suivent le processus de certification. L’accréditation, elle, ne cible que les spécialistes à risques. C’est-à-dire les chirurgiens, les anesthésistes, les obstétriciens, les échographes et les spécialistes interventionnels. Soit au total 35 000 médecins, libéraux et hospitaliers. Sur les vingt spécialités visées, quatorze disposent d’un organisme agréé par la Haute Autorité de santé (www.has-sante.fr). Déployé durant l’été 2007, le dispositif vise à mettre en place une politique nationale de gestion des risques. L’objectif est de renforcer la qualité des soins, et de contribuer à la maîtrise des primes d’assurance. La gestion des risques est le fruit d’un travail collectif, mais l’accréditation est une démarche individuelle, et volontaire. Elle permet au médecin accrédité, s’il exerce en secteur libéral, de recevoir une aide financière de l’assurance-maladie pour payer son assurance en responsabilité civile médicale.
S’accréditer, une démarche volontaire
Publié le 11/12/2008
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Source : Le Quotidien du Médecin: 8479
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