- Cure de boisson : le médecin thermal oriente le curiste (1re consultation), vers la source minéralisée la plus adaptée à son état global de santé. L’eau, qui se modifie au contact de l’air, doit être prise à la source ou griffon plusieurs fois par jour, à doses progressives.
- Entéroclyse : irrigation colique par voie anale (80 à 280 gr d’eau thermale instillés en goutte à goutte en 30 minutes environ à l’aide de canules à usage unique) suivie de repos. Un cataplasme abdominal à l’argile chaude facilite la remontée colique de l’eau. « Ce soin en général très bien toléré agit sur la flore de fermentation et de putréfaction et a un effet anti-inflammatoire et cicatrisant », précise le Dr Porte. Il peut être proposé dans les diverticuloses, les troubles du transit, les colopathies en général, les déséquilibre de flore, les MICI hors des poussées et avec prudence) et les affections urinaires (cystites à répétitions).
- Douches locales suivant le transit colique (« baveuse » en position allongée, ou « sous marine » réalisée par le curiste lors d’un bain d’eau thermale),
- Massages abdominaux sous l’eau,
- Cataplasmes abdominaux à 45 °C,
- Irrigation vaginale : lavage vaginal de 10 litres pour améliorer la qualité de la muqueuse (mycoses, infections à colibacilles)
- Bains et soins classiques de détente (bains à bulles, à jets, douches au jet…)
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