Les terminaux mobiles, smartphones ou tablettes, fonctionnent grâce à des applications téléchargées sur les plates-formes des différents écosystèmes en compétition, tous incompatibles entre eux. Une fois installées, ces appli se comportent de trois façons :
Utilisée par exemple pour accéder aux réseaux sociaux, l’application connectée agit comme un navigateur Internet : elle associe le terminal au serveur web d’un éditeur de services et charge un fichier dont les données sont interprétées par l’application. Légère par définition, elle est idéale pour diffuser des informations en temps réel; elle sollicite peu le terminal et peut s’appuyer sur le GPS, l’accéléromètre, etc.. La connexion au réseau mobile est obligatoire.
Avec l’application embarquée, fonctions et données sont chargées sur le mobile qui exécute le fichier stocké en mémoire. Il n’est plus nécessaire d’être connecté sauf pour les mises à jour. Plutôt dédié aux utilitaires mono-tâche, ce genre d’application est peu réactif et ne bénéficiera pas de fonctions comme la géolocalisation.
L’application synchronisable, hybride des deux précédentes, associe un serveur web connecté à une base de données et un contenu mémorisé dans la mémoire du mobile. Pour fonctionner, elle effectue une mise à jour si nécessaire, puis lit les données stockées et se synchronise sur le serveur distant. Ce mode allie disponibilité et flexibilité du contenu, ainsi qu’une économie du lien radio et du volume des données chargées. L’appli synchronisable convient aux solutions métier et aux usages professionnels qui réclament fiabilité et échanges rapides d’informations.
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