La conférence des doyens accueille favorablement la hausse de 478 places du numerus clausus 2017 annoncée par la ministre de la Santé, Marisol Touraine, le 24 novembre à l'Assemblée nationale. Cependant, selon eux, cette augmentation devra s'accompagner d'une adaptation des capacités de formation des facultés de médecine.
Elle fait aussi écho « à la réouverture d'expérimentations de la première année commune aux études de santé (PACES) dont un des objectifs est de diversifier la population des étudiants en médecine et de lutter contre l'échec en première année », commente la conférence des doyens.
L'Association nationale des étudiants en médecine de France (ANEMF) affirme pour sa part qu'elle restera vigilante « sur l'amélioration qualitative et quantitative de la formation des futurs médecins ». Les carabins réclament notamment le développement de la simulation et l'ouverture à la formation ambulatoire, « des mesures simples mais nécessaires à la compensation de l'augmentation des effectifs ».
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