Selon le bilan de surveillance des cas graves hospitalisés, effectué par l’Institut de veille sanitaire, 28 patients qui présentaient un facteur de risque (pathologies respiratoires chroniques, grossesses, déficit immunitaire, diabète, obésité morbide...) ont été admis en réanimation en France métropolitaine entre le début juillet et la mi-octobre. « Nous avons constaté que seulement 26 % d’entre eux avaient reçu des antiviraux dans les 48 heures suivant l’apparition des symptômes grippaux, rapporte le Dr Claire Fuhrman (département des maladies infectieuses de l’InVS). Autrement dit, les trois quarts des patients à risques n’avaient pas bénéficié du traitement selon les préconisations de précocité. Même si rien ne permet de conclure que la mise sous Tamiflu précoce les aurait protégé contre une forme grippale grave, cette proportion élevée doit attirer l’attention des médecins ainsi que des patients qui présentent un terrain sous-jacent. La précocité de prise du traitement est cruciale. »
Cas graves et Tamiflu
Publié le 05/11/2009
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Le Quotidien du Mdecin
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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