- Quand je prescris un produit injectable, il y a une alerte pour me dire que ce n’est pas per os– (BCB).
- Quand je prescris un pansement, des bas de contention, le logiciel me dit qu’il n’a pas pu analyser l’interaction… (Vidal).
- Quand je prescris du Tahor, l’alerte de contre-indication chez les femmes enceintes s’allume même si ma patiente a 75 ans.
- Si je prescris 3 boîtes d’un médicament conditionné par 30 gélules, on m’alerte sur le fait que le traitement maximal est de 84 jours.
- Les alertes liées à des risques de grossesse pour les femmes ménopausées.
- Fausses alertes si on a laissé de l’Efferalgan à prendre « si douleur » dans une ordonnance.
- Certaines recos agacent comme le vaccin papillomavirus à proposer aux jeunes filles de 12 ans et les médicaments pour les troubles d’érection (BCB). Certains médecins préfèrent avoir une demande de leur patient.
Ces alertes sont bien connues des éditeurs de bases de médicaments. En particulier, celles liées à l’âge du patient. Mais il n’existe en fait pas de norme sur l’âge. À quel âge devient-on une personne âgée ? Quel est aujourd’hui l’âge limite pour la procréation ?
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