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Un décret précise les modalités de désignation des sages-femmes référentes par les femmes enceintes. Un statut accueilli mollement par les médecins libéraux. Le Dr Jean-Christophe Nogrette (MG France) prévient ainsi « il ne faut pas que cela soit des gynécologues bis ».
Gynécologues bis, l'expression est mal trouvée.
Entre la raréfaction inquiétante des gynécos de ville et celle des généralistes installés pratiquant encore de la gynécologie, les sages-femmes ne prennent la place de personne, mais occupent la béance laissée par les médecins dans les soins de ville, pour le plus grand bénéfice des patientes (qui n'ont pas à poireauter 6 mois pour un RV) et des nourrissons, dont la morbi mortalité en hausse serait certainement pire sans la présence et le dévouement fort mal rémunéré des maïeuticiennes.
Message posté le 14 novembre 2023. Voir tous les commentaires sur le sujet : Sages-femmes référentes : « Il ne faut pas qu'elles soient des gynécologues bis », prévient MG France
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