Dans les cancers métastatiques du testicule de mauvais pronostic, la chimiothérapie (BEP 6 cures) ne permet que 50 % de guérison. Mais une étude française vient de montrer qu'en adaptant le traitement à la réponse, en fonction de la cinétique des marqueurs au terme des 3 premières cures de BEP, on peut améliorer la survie sans rechute et la survie globale en intensifiant la chimiothérapie (6 produits) sur les trois dernières cures. « Ces résultats ont déjà modifié la pratique clinique en France ».
Testicule
Intensification du traitement dans le haut risque
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Publié le 16/02/2017
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Source : Bilan Spécialiste
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