La CROI 2010 a fourni aussi l’occasion de commencer à parler d’un rétrovirus émergent, à la signification clinique potentielle importante, puisqu’il s’agit du XMRV. Un rétrovirus de type cellulaire, dont la présence est associée à 20 à 30 % des cancers de la prostate. Une session lui a été consacrée. Les chercheurs ont convenu que tout comme cela a été le cas pour le VIH, il faut procéder à des recherches fondamentales pour comprendre son fonctionnement, identifier ses récepteurs. Les données sont évidemment très préliminaires, mais on va sans doute concevoir des antirétroviraux, dont l’efficacité pourrait permettre de prendre en charge un certain nombre de cancers de la prostate.
Le rétrovirus du cancer prostatique
Publié le 25/02/2010
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Source : Le Quotidien du Médecin: 8716
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