Jusqu’à 20 % du blé et du maïs sont contaminés par des mycotoxines, les rendant impropres à la consommation humaine, et cela pourrait s’aggraver avec le réchauffement climatique car le stress hydrique et les températures augmentent leur production.
L’Inrae investigue différentes voies de recherche pour se passer de pesticides : anticiper la libération des toxines, lutter directement contre les champignons en utilisant des peptides de tiques ou des coproduits de la vigne ou encore s’adjoindre les services de bactéries et levures du sol et des épis.
Maintien des connaissances et des compétences
La certification périodique marque des points
Deux poids, deux mesures ? La fin des négos ravive les tensions entre spécialistes et généralistes
Déconventionnement : la colère enfle sur l’île de beauté
C’est quoi ta spé ? – Épisode 01
[VIDÉO] « La bobologie c’est super ! » : Mirana, interne en médecine générale, livre son expérience et ses conseils