Le Groupe de Recherche Servier a pris connaissance du rapport complémentaire de la CNAM sur Mediator.
Il souligne que « les chiffres sont des hypothèses fondées sur des extrapolations. »
« Dans la population générale, la fréquence des atteintes valvulaires cardiaques est de 2,5 %. La prévalence de valvulopathies augmente avec l’âge et la présence de diabète. L’étude contrôlée précédemment citée montre même la présence d’anomalies valvulaires préexistantes chez près d’un diabétique sur deux. La simple constatation d’une valvulopathie chez un diabétique ne permet donc pas d’imputer celle-ci à un traitement médicamenteux qui reste une cause très rare toutes classes thérapeutiques confondues. »
Par mesure de précaution, il est conseillé aux patients d’en parler à leur médecin traitant à l’occasion de leur prochaine visite de suivi pour rechercher une éventuelle symptomatologie fonctionnelle compatible avec une valvulopathie ou un souffle à l’auscultation. S’il constate des arguments cliniques évocateurs, il lui appartient d’adresser son patient à un cardiologue qui jugera de l’utilité de pratiquer une échocardiographie.
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