« À chaque alerte le risque se rapproche, constate Edmond-Luc Henry, président d’honneur de l’AFH. Notre crainte était de découvrir, un jour, un nouveau variant chez un hémophile. S’il est impossible de tirer des conclusions à partir d’un cas, nous devons donner la priorité absolue au principe de précaution en utilisant chaque fois que cela est possible des produits recombinants. Notre association aimerait avoir un suivi pour les hémophiles français qui ont reçu des produits dérivés du sang issu des trois donneurs français atteints du nvMCJ et qui se poursuive en post-mortem. C’est le seul moyen de savoir s’il existe une transmission par les médicaments dérivés du sang. »
Le choix des produits recombinants
Publié le 19/02/2009
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Le Quotidien du Mdecin
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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