D’après une étude australienne (H. Powell et coll.) chez 242 femmes enceintes asthmatiques, la mesure de la fraction NO expirée (FENO) peut être utile dans le contrôle des exacerbations. En s’appuyant sur le chiffre de la FENO pour augmenter ou réduire les doses de corticostéroïdes inhalés et de bêta 2-mimétiques, ils constatent qu’il est possible de prévenir, chez une femme sur six recevant le traitement ajusté, les exacerbations sévères.
A. Rames et coll. (Suisse) ont, quant à eux, examiné l’effet d’un agoniste rétinoïde sélectif dans le traitement de l’emphysème. Une étude de phase II contrôlée contre placebo (5 mg/j de palovarotène chez 492 patients souffrant d’emphysème posttabagique) enregistre une réduction significative du déclin fonctionnel pulmonaire au bout de deux ans, chez les sujets à emphysème lobaire inférieur.
Des Américains (R. Albert et coll.) ont associé l’azithromycine au traitement standard de la BPCO pendant un an (1 577 patients, 25 mg/j d’azithromycine). Ils notent une réduction significative de la fréquence des exacerbations aiguës (1,87 vs 1,47 par patient-année) au prix, toutefois, d’une réduction de l’audition chez certains patients.
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