Les données épidémiologiques actuelles, et en particulier les données françaises, sont insuffisantes pour obtenir une estimation certaine de la prévalence et de l’incidence du transsexualisme. Néanmoins, à partir des données les plus récentes, on peut estimer la prévalence entre 1 pour 10 000 et 1 pour 50 000, « ce qui indiquerait que le transsexualisme n’est pas un phénomène exceptionnel », note la HAS. En 2006, l’assurance-maladie a reçu 120 demandes de prise en charge de chirurgie de réassignation.
Pas exceptionnel
Publié le 22/09/2009
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Le Quotidien du Mdecin
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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