Alors que le Brexit va contraindre l'Agence européenne du médicament (EMA) à quitter Londres pour une ville faisant partie de l'Union européenne, les villes désireuses d'héberger cette institution se font connaître.
Après Strasbourg et Lyon, Lille et Toulouse sont candidates pour héberger cette agence employant 890 personnes. Lille met en avant sa proximité géographique avec Londres et sa position centrale en Europe. De son côté, Toulouse, par la voix du député socialiste de Haute-Garonne Gérard Bapt, fait valoir que cette capitale régionale dispose déjà d'« un tissu médical et scientifique dont la réputation n’est plus à faire », et qu'elle abrite également l'Oncopole.
Dans le reste de l'Europe, Copenhague, Stockholm, Barcelone et Milan se sont aussi portées candidates pour accueillir l'Agence européenne du médicament.
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