La prise d’aliments suivie d’un effort d’endurance (course à pied, vélo, natation) peut entraîner en quelques minutes, un prurit palmo-plantaire, une rhinite, puis des symptômes plus graves si le sujet n’arrête pas l’effort (urticaire, bronchospasme, choc) avec menace vitale. Les patients ont des PT positifs et/ou IgEs vis-à-vis d’un aliment, mais ni l’ingestion de l’aliment seul, ni l’effort seul n’entraînent les symptômes. De nombreux aliments sont en cause : fruits de mer, céleri, pomme, pain, pâtes alimentaires (etc.) (17).
Prévention :
I) respecter la règle des 3 heures entre le repas et l’effort,
II) pas de médicaments (aspirine, anti-inflammatoires non stéroïdiens) qui sont des facteurs favorisants.
Mise au point
Troubles psychiatriques : quand évoquer une maladie neurodégénérative ?
Étude et pratique
Complications de FA, l’insuffisance cardiaque plus fréquente que l’AVC
Cas clinique
L’ictus amnésique idiopathique
Recommandations
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