→ La DA est une maladie multifactorielle due à l'association de facteurs génétiques, immunologiques et environnementaux, cinq types de mécanismes sont impliqués :
- une altération de la fonction barrière cutanée d’origine génétique ;
- une prédisposition au développement d'une réaction inflammatoire au sein de la peau ;
- l'action de facteurs environnementaux incomplètement connus ;
- une faible diversité du microbiome digestif néonatal ;
- un rôle probable mais encore méconnu du microbiome bactérien cutané.
→ Les lésions d'eczéma de la dermatite atopique sont secondaires au déficit de la fonction barrière cutanée qui autorise la pénétration d'allergènes de l'environnement et autres substances en contact avec la peau. Ces substances qui pénètrent les couches supérieures de l'épiderme puis la peau sont responsables de l'activation chronique de cellules de l'immunité qui génèrent l'inflammation cutanée spécifique de la DA. Ces cellules sont, entre autres, des lymphocytes T spécifiques d'antigènes (3).
→ Il n'y a pas de traitement reconnu en prévention primaire actuellement en dehors des hydrolysats de protéines de lait de vache chez les nouveau-nés à risque et probablement des probiotiques et/ou des prébiotiques (1).
- une altération de la fonction barrière cutanée d’origine génétique ;
- une prédisposition au développement d'une réaction inflammatoire au sein de la peau ;
- l'action de facteurs environnementaux incomplètement connus ;
- une faible diversité du microbiome digestif néonatal ;
- un rôle probable mais encore méconnu du microbiome bactérien cutané.
→ Les lésions d'eczéma de la dermatite atopique sont secondaires au déficit de la fonction barrière cutanée qui autorise la pénétration d'allergènes de l'environnement et autres substances en contact avec la peau. Ces substances qui pénètrent les couches supérieures de l'épiderme puis la peau sont responsables de l'activation chronique de cellules de l'immunité qui génèrent l'inflammation cutanée spécifique de la DA. Ces cellules sont, entre autres, des lymphocytes T spécifiques d'antigènes (3).
→ Il n'y a pas de traitement reconnu en prévention primaire actuellement en dehors des hydrolysats de protéines de lait de vache chez les nouveau-nés à risque et probablement des probiotiques et/ou des prébiotiques (1).
Mise au point
Les urgences psychiatriques en médecine générale
Étude et pratique
Mortalité liée au tabac, le sevrage bénéfique quel que soit l’âge
Cas clinique
Le kyste osseux anévrismal
Recommandation
Le RGO du nourrisson