- L’interrogatoire recherche la présence d’antécédents familiaux d’hémopathie maligne, de maladie dysimmunitaire et de cancers ;
- L’examen clinique évalue le degré de prolifération lymphoïde en précisant la présence, le nombre et la taille des adénopathies superficielles, la présence et la taille d’une splénomégalie et d’une hépatomégalie, l’existence d’une hypertrophie amygdalienne ;
- Le bilan d’extension comprend un scanner thoraco-abdominal et pelvien qui n’est pas indispensable tant qu’il n’y a pas d’indication à mettre en route un traitement.
La recherche de complications repose sur :
- un hémogramme avec numération des réticulocytes ;
- une électrophorèse des protides ;
- un test de Coombs direct ;
Avant traitement
- Scanner thoraco-abdominal et pelvien. Le TEP-scanner est inutile dans la LLC sauf si un syndrome de Richter est évoqué.
- Sérologies virales dont les valeurs de référence seront utiles au suivi sous traitement.
- D’autres examens (LDH, ß2 microglobuline, immunofixation, etc.) seront réalisés en fonction de l’option thérapeutique envisagée.
Mise au point
Troubles psychiatriques : quand évoquer une maladie neurodégénérative ?
Étude et pratique
Complications de FA, l’insuffisance cardiaque plus fréquente que l’AVC
Cas clinique
L’ictus amnésique idiopathique
Recommandations
Antibiothérapies dans les infections pédiatriques courantes (2/2)