Dans ses recommandations sur le DT2, la HAS prend en compte pour la première fois l’écart avec l’objectif glycémique cible pour choisir les traitements de deuxième et troisième lignes en cas de contre-indication ou d’intolérance aux sulfamides. S’il est inférieur à 1 %, la bithérapie metformine-replaglinide est privilégiée en cas de repas irrégulier?; celle avec les inhibiteurs des alpha-glucosidase (IAG) est préconisée si les hypoglycémies sont un risque préoccupant?; celle avec les gliptines conseillée lorsque la prise pondérale ou les hypoglycémies sont préoccupantes. En revanche, si le déséquilibre est de plus de 1 point d’Hba1c au-dessus de l’objectif, l’insuline ou les analogues du GLP-1 sont autorisés. « Ce distinguo entre les patients nettement déséquilibrés (›1% d’Hab1c/objectif) chez qui sont recommandés les thérapeutiques injectables et ceux qui le sont moins qui reçoivent les ADO, est fondé sur le fait que la baisse attendue de l’HbA1c sous DPP-4 et les IAG est évaluée à -0,8 points, détaille Bernard Charbonnel, mais sans tenir compte du fait que la baisse de l’HbA1c dépend de la valeur de départ !
Objectif glycémique
Des seuils trop arbitraires ?
Publié le 08/03/2013
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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