« Ce qui a emporté la décision de voter contre la convention au sein du SML, ce sont les spécialistes de secteur I, abandonnés au bord de la route. C'est également l'iniquité tarifaire pénalisant à chaque fois le secteur II, qui ne pourra pas bénéficier du forfait patientèle par exemple. En somme, cette convention est marquée par la volonté affichée de ne valoriser que deux façons de travailler en médecine libérale : le secteur I – et en particulier le médecin traitant – et les chirurgiens obstétriciens qui ont obtenu l'OPTAM-CO. Tout le reste de la médecine libérale a été sacrifié pour ces deux catégories de praticiens. C'est pour cela qu'il y avait beaucoup de mécontents dans notre base syndicale. »
Dr Éric Henry, président du SML
Padhue : le nouveau statut ne convainc pas tous les syndicats, grève annoncée le 14 mai
Soins palliatifs précoces : ouverture du premier hôpital de jour en Essonne
Après les accusations d'une médecin, un #MeToo à l'hôpital ?
L’urgentiste Patrick Pelloux accusé de harcèlement sexuel et moral par l’infectiologue Karine Lacombe