Emmanuel Macron avait surpris le secteur à l’annonce du plan « Ma Santé 2022 ».
Il promettait le recrutement « dès 2019 » de 400 généralistes salariés dans les territoires prioritaires. Sept mois plus tard, la mesure prend forme. La Direction générale de l’offre de soins (DGOS) a détaillé les deux volets de recrutement prévus. Le premier consiste à financer, sur deux ans, la création d’au moins 200 postes à exercice partagé ville/hôpital. Le second vise à soutenir la création de postes de généralistes salariés dans les centres de santé ou les établissements des zones fragiles à condition d’un exercice strictement ambulatoire. L’Ile-de-France a été la première région à lancer les recrutements. Elle a ouvert 27 postes à exercice mixte et veut recruter 35 généralistes salariés pour une prise de poste au 1er novembre (avec une garantie mensuelle maximum de 5 400 euros net).
Article précédent
André Accary : «Une tendance qui est sans doute appelée à s’amplifier»
Article suivant
Et si c’était vrai ? Plongée dans un monde où le salariat serait la norme
André Accary : «Une tendance qui est sans doute appelée à s’amplifier»
Les 400 généralistes salariés promis par Macron se profilent
Et si c’était vrai ? Plongée dans un monde où le salariat serait la norme
Vers un C à 30 euros en décembre : après être « allée au bout », la Cnam veut croire à la signature des médecins
En équipe
Dans les Hauts-de-Seine, l’hôpital Foch innove contre l’errance diagnostique
Nouvelle convention médicale : les 15 mesures clés que propose la Cnam
Convention : « Cette affaire est mal partie », alerte le Dr Jérôme Marty, président de l’UFML-S