Le code de la déontologie inscrit dans le code de santé publique, la loi Léonetti ne sont-ils pas suffisamment explicites ? A-t-on, pour une fois, avant toute suggestion des pouvoirs publics demandé l’avis des conseils nationaux de l’Ordre des médecins, des infirmiers, des kinésithérapeutes, des magistrats et avocats ? Quelles ont été leurs réponses ?
Le peuple de notre démocratie est intéressé car chacun est concerné quel que soit son milieu social. La mort est universelle, naturelle, accidentelle ou provoquée. Les soins palliatifs sont là pour adoucir par des traitements et l’humanité, non pour la provoquer. Le médecin a pour rôle de diagnostiquer, soulager, guérir si possible, mais pas de devenir un assassin selon le désir du patient, souvent des héritiers et encore moins sous la pression d’une loi votée par des instances incompétentes dans ce domaine.
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