Les fichiers dérobés lors de la cyberattaque qui a visé le 11 février le centre hospitalier d'Armentières (Nord) concernent « autour de 300 000 patients », a indiqué mercredi à l'AFP la direction de l'hôpital.
Ces données, « rendues accessibles » depuis dimanche par les pirates informatiques, sont « essentiellement des listes, contenant les coordonnées, la date de venue et le secteur de prise en charge des patients concernés », a indiqué l'établissement dans un communiqué. « À ce jour, aucun dossier patient informatisé ne figure dans les éléments divulgués », a-t-il ajouté.
Violences sexistes et sexuelles : la Pr Agnès Buzyn se paye l’Ordre pour avoir « trop souvent protégé » les harceleurs
La santé publique doit être la deuxième priorité du Parlement européen, selon un sondage
Pas d’écrans avant 3 ans, pas de téléphone avant 11 ans… : la commission d’experts propose un guide fondé sur la science
Violences sexistes et sexuelles
Comment s’enracinent les schémas de domination à l’hôpital