La Cour des comptes européenne selon Politico s'insurge contre le refus de la présidente de la Commission européenne de livrer les documents concernant son rôle personnel dans la négociation nouée avec Pfizer pour la signature du contrat portant jusqu'à 1,8 milliard de doses de vaccin contre le Sars Cov-2. Pour les autres contrats, une équipe conjointe composée de fonctionnaires de la Commission et de pays membres a mené des entretiens exploratoires. Le protocole d'accord était ensuite transmis à un comité directeur composé des représentants des 27 Etats membres de l'Union européenne. Cette procédure n'aurait pas été respectée dans le cas du contrat Pfizer/BioNtech. Ursula von der Leyen aurait personnellement mené les négociations préliminaires. Les sommes en jeu sont considérables. Alors que le prix de la dose aurait été de 15,50 euros, il aurait grimpé au fil des contrats à 19,50 euros selon le Financial Times, soit une valeur globale de 35 milliards d'euros. L'accord a été conclu au plus fort de la pandémie au moment où AstraZeneca avait privilégié les livraisons de son vaccin au Royaume-Uni et aux Etats-Unis. Selon le journal en ligne, ce refus de transmettre des documents serait inhabituel. Enfin, le médiateur européen sur ce dossier se serait également heurté à un mur de silence.
Pfizer/ Covid 19
Ursula von der Leyen refuse de livrer les pièces du contrat de livraison des vaccins
Par
Publié le 15/09/2022
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
compte twitter d'Ursula von der Leyen
Crédit photo : arnaud janin
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr
54 % des médecins femmes ont été victimes de violences sexistes et sexuelles, selon une enquête de l’Ordre
Installation : quand un cabinet éphémère séduit les jeunes praticiens
À l’AP-HM, dans l’attente du procès d’un psychiatre accusé de viols
Le texte sur la fin de vie examiné à l'Assemblée à partir de fin janvier