- Réduire l’apport calorique global, en particulier les protéines animales, proscrire les boissons riches en fructose converti en acide urique, limiter la quantité d’alcool (particulièrement les alcools forts) et la bière avec ou sans alcool (purines), favoriser la consommation de laitages allégés pour leur effet uricosurique.
- Boire de l’eau en quantité suffisante et tout au long de la journée.
- Interdire la consommation de jus de pamplemousse dans les phases de prise de colchicine.
- Inciter à la pratique d’une activité physique favorisant la perte de poids.
- Réduire si possible la prise de diurétiques.
Dr Patrick Gasser (Avenir Spé) : « Mon but n’est pas de m’opposer à mes collègues médecins généralistes »
Congrès de la SNFMI 2024 : la médecine interne à la loupe
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024
La myologie, vers une nouvelle spécialité transversale ?