Si les patchs présentent l'avantage de délivrer de la nicotine de façon régulière, le patient ne doit, en revanche, pas changer de marque. En janvier 2018 l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a ainsi alerté les professionnels de santé sur le fait que, « pour un même dosage, deux patchs de nicotine de marque différente peuvent libérer le principe actif plus ou moins rapidement au cours de la période indiquée ». Les formes orales (pastilles, gommes à mâcher, inhaleurs, etc.), quant à elles, permettent de délivrer des interdoses et de s'adapter aux besoins en nicotine du fumeur. À l'arrêt des pics de nicotine provoqués par la nicotine fumée, le nombre de récepteurs baisse progressivement en trois mois.
Différents types de substitution
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Publié le 04/02/2019
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Source : Le Quotidien du médecin: 9721
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