Dans le cancer vésical superficiel, des variations génétiques du système de l’inflammation pourraient prédire quels sont les patients qui vont répondre à la Bcgthérapie et quels sont ceux qui ont un risque élevé de récurrence. C’est ce que montre une étude présentée par Hushan Yang (université du Texas) au 100e Congrès annuel de l’Association américaine de recherche sur le cancer (Denver). L’étude de 59 polymorphismes dans 35 gènes majeurs de l’inflammation a montré qu’un variant du gène iNOS est associé à une réduction significative du risque de récurrence : avec ce variant, la survie est de 96,7 mois (contre 47 mois). Chez les patients à haut risque, la survie sans récurrence est 13,5 mois (contre 96,7 mois dans le groupe à faible risque).
Cancer de la vessie
Un variant de iNOS pour prévoir la récurrence
Publié le 20/04/2009
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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