– Le BIS ne prédit pas la réaction du patient aux stimulations douloureuses avant de les avoir appliquées. Il est peu sensible à la présence des morphiniques aux doses habituelles alors que ces morphiniques sont le principal facteur de contrôle de la réponse aux stimulations douloureuses. Après la stimulation, le BIS peut refléter éventuellement les réactions d'éveil cortical provoquées par des stimulations douloureuses et non bloquées par les analgésiques.
– Le BIS peut dépister certains épisodes de mémorisation peropératoire en particulier dans les populations à risque mais ne les supprime pas totalement.
Dr Patrick Gasser (Avenir Spé) : « Mon but n’est pas de m’opposer à mes collègues médecins généralistes »
Congrès de la SNFMI 2024 : la médecine interne à la loupe
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024
La myologie, vers une nouvelle spécialité transversale ?