Jusqu’alors moins étudiés que chez les jeunes femmes de moins de 26 ans, les facteurs de risque de nouvelle infection à papillomavirus après cet âge sont aujourd’hui mieux cernés : début précoce de la vie sexuelle, nombre de partenaires au cours de la vie, plusieurs partenaires au cours des six mois précédents, nulliparité et tabagisme. L’histoire naturelle de l’infection et de l’évolution vers des lésions du col semble comparable dans les deux groupes d’âge : mêmes délais moyens d’élimination des nouvelles infections persistantes, mêmes fréquence et temps de progression vers une lésion de haut grade. Un constat qui souligne l’intérêt potentiel de la vaccination chez les femmes plus âgées.
D’après Garland S et al, Australie et Bautista O et al., États-Unis
Article précédent
L’expérience lettone pour lever les freins au dépistage
Article suivant
Un examen proctologique chez tous les sujets à risque
Des initiatives fortes pour la prévention
Le succès mondial de la vaccination
L’expérience lettone pour lever les freins au dépistage
Les mêmes facteurs de risque
Un examen proctologique chez tous les sujets à risque
Un possible impact sur la fertilité
Trop tôt pour conclure ?
Mieux reconnaître les cancers HPV induits des VADS
L’autoprélèvement ne résout pas tout
Maintien des connaissances et des compétences
La certification périodique marque des points
Deux poids, deux mesures ? La fin des négos ravive les tensions entre spécialistes et généralistes
Déconventionnement : la colère enfle sur l’île de beauté
C’est quoi ta spé ? – Épisode 01
[VIDÉO] « La bobologie c’est super ! » : Mirana, interne en médecine générale, livre son expérience et ses conseils