La majorité des IAS acquises étaient urinaires (56,3 %), les autres localisations étaient respiratoires et cutanées. Le germe en cause était le plus souvent une entérobactérie communautaire et aucune multirésistance n’a été retrouvée. Au cours de l’enquête, il n’a pas été observé d’infection sur cathéter ou chambre implantée et les infections du site opératoire concernaient toutes des IAS importées. Toutefois, les patients hospitalisés en HAD sont en général transférés vers leurs hôpitaux d’origine en cas de complication infectieuse sévère, ce qui explique sans doute l’absence d’infection sur cathéter veineux central.
Surtout des entérobactéries
Publié le 02/02/2009
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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