Le directeur de l’ANRS, le Pr Jean-François Delfraissy, considérant que les nouvelles infections dans les groupes les plus exposés, en particulier chez les gays constituait « une urgence sanitaire », estime « qu’il faut élargir (la) palette d’outils de réduction des risques afin de disposer de plusieurs combinaisons de moyens préventifs utilisables par chacun en fonction de son environnement et de son histoire individuelle ». Un groupe de travail va donc être nommé avant la fin de l’année pour explorer, avec le milieu associatif, de nouvelles pistes de recherche afin d’optimiser les usages des différents moyens préventifs y compris le Prep utilisant les antirétroviraux.
Amplifier la recherche en prévention
Publié le 31/10/2012
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9183
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