« Il y aura potentiellement des sanctions. Cet événement m'a vraiment bouleversée. Le prix à payer pour les étudiants est énorme, je comprends leur exaspération. Je précise que ce n’est pas la conséquence d’un problème technique géré par le centre national de gestion mais d’un dysfonctionnement relatif au choix des questions mises dans la « banque ». Ce sont certains enseignants et le conseil scientifique qui n’ont pas joué le jeu en recyclant des questions qui avaient déjà été données en examen blanc. C’est inadmissible. C’est soit de la flemme soit du sabotage ! Tout cela est d'autant plus lamentable que quelques-uns jettent l'opprobre sur toute une profession.
Nous avons donc lancé une mission IGAS/IGAENR [qui doit rendre ses conclusions avant le 15 septembre, NDRL] pour comprendre où se situaient l’erreur et la faute. Si faute il y a, il y aura évidemment sanction.
Par souci de transparence, les annales seront mises en ligne très rapidement pour que tout le monde soit au même niveau. Nous explorons par ailleurs la possibilité technique de séparer les dossiers afin d’éviter aux étudiants de repasser les examens sur une matinée complète. Nous devrions parvenir à nos fins. »
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