Pour réduire la consommation, le généraliste doit mettre l’accent sur le choix personnel du patient, se focaliser sur ses préoccupations, valoriser ses réussites et ses petits succès, exprimer son inquiétude sur l’état de santé du malade et le relier à la consommation d’alcool, tout en évitant de l’étiqueter ou de forcer sa résistance.
Il faut aussi insister sur la tenue d’un agenda de consommation, définir ensemble un objectif, pointer positivement chaque succès, encourager la recherche de stratégies concrètes pour résoudre les problèmes résiduels.
Dans l’objectif d’un maintien de l’abstinence, chaque succès devra être pointé positivement, il faudra rechercher et pointer les bénéfices liés à l’abstinence (santé, social), encourager la recherche de stratégies concrètes pour gérer les envies de boire, valoriser l’entourage soutenant, et orienter le patient vers une association d’entraide.
Les interventions psychosociales du généraliste
Mise au point
Troubles psychiatriques : quand évoquer une maladie neurodégénérative ?
Étude et pratique
Complications de FA, l’insuffisance cardiaque plus fréquente que l’AVC
Cas clinique
L’ictus amnésique idiopathique
Recommandations
Antibiothérapies dans les infections pédiatriques courantes (2/2)