Si l’examen pelvien a pu être pratiqué de façon trop large ou trop systématique par les gynécologues, pendant longtemps, la tendance en soins primaires a été plutôt, au contraire, de le déléguer aux spécialistes et de « ne pas assez le pratiquer même lorsqu’il était justifié », estime le Dr Thierry Brillac.
Avec les modifications de la démographie médicale, « cela redevient une préoccupation principale et, dans le cadre de notre exercice quotidien, les demandes de prise en charge de la santé de la femme sont de plus en plus prégnantes », témoigne le généraliste, qui appelle à se réapproprier cette part de la clinique.
Article suivant
« L'évolution de la société ne doit pas conduire à supprimer l'examen gynécologique »
Retour en soins primaires
« L'évolution de la société ne doit pas conduire à supprimer l'examen gynécologique »
Cas clinique
Le prurigo nodulaire
Étude et pratique
HTA : quelle PA cible chez les patients à haut risque cardiovasculaire ?
Mise au point
Troubles psychiatriques : quand évoquer une maladie neurodégénérative ?
Étude et pratique
Complications de FA, l’insuffisance cardiaque plus fréquente que l’AVC