Dans un Live chat organisé par lequotidiendumedecin.fr, la présidente de la HAS n’a éludé aucune question sur le Covid. Elle a notamment répondu sur celle de l'obligation vaccinale, pour laquelle l’écologiste Yannick Jadot s’est dit favorable. Le Pr Dominique Le Guludec a justifié les prises de position, les recos et la quantité du travail effectué par la HAS pendant la crise. Et répondu aux interrogations pratiques des praticiens.
Journaliste QDM (PT)
Bonjour à toutes et à tous.
Le Live chat va bientôt commencer. Nous accueillons aujourd’hui le Pr Dominique Le Guludec, présidente de la Haute Autorité de santé (HAS). La HAS a publié plusieurs recommandations sur la prise en charge des patients Covid. Sa présidente est présente à la rédaction du « Quotidien ». Elle répondra à vos questions sur le sujet pendant près d'une heure.
Le Live chat va bientôt commencer. Nous accueillons aujourd’hui le Pr Dominique Le Guludec, présidente de la Haute Autorité de santé (HAS). La HAS a publié plusieurs recommandations sur la prise en charge des patients Covid. Sa présidente est présente à la rédaction du « Quotidien ». Elle répondra à vos questions sur le sujet pendant près d'une heure.
Journaliste QDM (PT)
Bonjour Pr Dominique Le Guludec. Merci d’avoir accepté notre invitation à ce Live chat.
Pr Dominique Le Guludec
Bonjour, merci de l'invitation, je suis ravie d'être parmi vous aujourd'hui et de répondre aux questions de vos lecteurs, dont je fais partie assidûment depuis que je suis jeune médecin.
Journaliste QDM (PT)
Faut-il traiter tous les patients adultes symptomatiques par des anticoagulants, et à quelles doses curatives ou préventives ?
Quelles sont les indications de l’oxygénothérapie à domicile ?
Quelles sont les indications de l’oxygénothérapie à domicile ?
Pr Dominique Le Guludec
Nous avons émis des recommandations pour les traitements anticoagulants des patients atteints de Covid non grave, ambulatoires. Les anticoagulants sont très loin d'être automatiques. Je vous invite à consulter la réponse rapide sur la prise en charge des patients atteints de la Covid en premier recours.
De même, nous avons émis une réponse rapide élaborée avec les généralistes et les urgentistes, les réanimateurs, et les associations de patients sur la possibilité, à titre exceptionnel, d'oxygénothérapie à domicile, de façon extrêmement cadrée. La principale indication concerne les patients en sortie d'hospitalisation, qui sont sur une pente d'amélioration de la maladie. cette prise en charge à domicile leur permet de rentrer un peu plus tôt en période de surcharge hospitalière. Cela doit se faire en coordination étroite entre l'équipe hospitalière de référence, le médecin généraliste et l'équipe pluriprofessionnelle avec laquelle il travaille (infirmières, kinés, prestataires, etc.).
Certains patients non hospitalisés demandent à différer leur prise en charge hospitalière. De façon exceptionnelle, nous avons cadré les conditions exactes dans lesquelles cela est possible. Certains médecins généralistes ont l'habitude de l'oxygénothérapie à domicile. Notre but est de cadrer la façon de faire de manière à sécuriser cette modalité de prise en charge, qui doit rester exceptionnelle.
J'aimerais ajouter que nous sommes parfaitement conscients de la sensibilité du sujet et des préoccupations qui peuvent s'exprimer. Il ne s'agit pas à nos yeux de pratiquer une médecine dégradée, et c'est d'ailleurs pour cela que nous avons mis des verrous et des exigences très strictes dans la réponse.
De même, nous avons émis une réponse rapide élaborée avec les généralistes et les urgentistes, les réanimateurs, et les associations de patients sur la possibilité, à titre exceptionnel, d'oxygénothérapie à domicile, de façon extrêmement cadrée. La principale indication concerne les patients en sortie d'hospitalisation, qui sont sur une pente d'amélioration de la maladie. cette prise en charge à domicile leur permet de rentrer un peu plus tôt en période de surcharge hospitalière. Cela doit se faire en coordination étroite entre l'équipe hospitalière de référence, le médecin généraliste et l'équipe pluriprofessionnelle avec laquelle il travaille (infirmières, kinés, prestataires, etc.).
Certains patients non hospitalisés demandent à différer leur prise en charge hospitalière. De façon exceptionnelle, nous avons cadré les conditions exactes dans lesquelles cela est possible. Certains médecins généralistes ont l'habitude de l'oxygénothérapie à domicile. Notre but est de cadrer la façon de faire de manière à sécuriser cette modalité de prise en charge, qui doit rester exceptionnelle.
J'aimerais ajouter que nous sommes parfaitement conscients de la sensibilité du sujet et des préoccupations qui peuvent s'exprimer. Il ne s'agit pas à nos yeux de pratiquer une médecine dégradée, et c'est d'ailleurs pour cela que nous avons mis des verrous et des exigences très strictes dans la réponse.
patty
Je suis pédiatre en crèche. Dois-je demander un test PCR pour un enfant contact avant de l'accepter dans la structure ? Ou le laisser en quatorzaine ?
Pr Dominique Le Guludec
Un enfant contact doit être isolé une semaine, comme les adultes. Il n'y a pas lieu de le tester s'il n'a pas de symptômes.
N'oubliez pas qu'en cas de symptômes, les tests PCR peuvent être faits sur la salive chez les enfants ; ce qui est nettement moins traumatique.
N'oubliez pas qu'en cas de symptômes, les tests PCR peuvent être faits sur la salive chez les enfants ; ce qui est nettement moins traumatique.
Victor
Sur quelles données avez-vous défini les critères d'exclusion mineurs et majeurs pour l'oxygénothérapie à domicile ?
Pr Dominique Le Guludec
Nous nous sommes appuyés sur la définition des patients à risque de formes sévères du HCSP. Ce travail a été fait en étroite collaboration entre urgentistes, réanimateurs et médecins de ville. C'est ce groupe d'experts qui a défini les critères majeurs et mineurs d'exclusion.
-- Dr HM, médecin généraliste
J'ai vu les indications des tests salivaires chez les enfants de moins de 6 ans, mais dans ma ville (40 000 habitants) les labos n'en ont pas..
-- LYZAZ
TEST ANTIGENIQUE EN SALIVAIRE CHEZ L ENFANT POSSIBLE ? SI OUI QUELLE SENSIBILITE ?MERCI
Pr Dominique Le Guludec
Les tests salivaires en PCR ne demandent pas de matériel spécifique. Il s'agit de prélever un peu de salive et d'effectuer un test PCR classique. Nous n'avons pas encore de données suffisantes sur les tests salivaires antigéniques pour évaluer leur sensibilité (ni chez l'adulte, ni chez l'enfant). Donc, nous ne les recommandons pas encore. Les salivaires aujourd'hui ne sont recommandés qu'avec une technique PCR.
Mikado
Indication des corticoïdes en pratique de ville devant Covid symptomatique ?
Pr Dominique Le Guludec
Seules les formes sévères bénéficient des corticoïdes, chez les patients qui nécessitent une oxygénothérapie. Il n'y a pas lieu d'initier un traitement par corticoïdes chez un patient non oxygéno-requérant. Par contre, il est conseillé de ne pas arrêter une corticothérapie au long court chez un patient présentant une pathologie chronique, pour laquelle il est traité.
-- Corcaro
que pensez-vous de la réaction de la SPLF sur l'O² à domicile pour les patients Covid+?
-- Vinciane
Pourquoi la SPLF et la SFAR n'ont pas été associées aux recommandations su l'oxygénothérapie en ville ?
Pr Dominique Le Guludec
Nous avons conscience des inquiétudes que peut susciter la prise en charge de ces patients à domicile. Nous nous sommes entourés de très nombreux avis et la recommandation a trouvé un consensus à la fois chez les généralistes, les urgentistes et les réanimateurs. Il est évident que cette pratique doit être encadrée, que le SAMU doit être prévenu, que la pratique doit se faire en lien avec l'équipe hospitalière référente, avec un transfert rapide si l'évolution est défavorable. Les conditions sont très consommatrices de ressources, elles nécessitent un médecin généraliste habitué. Il y a lieu de penser que cela restera exceptionnel.
Les associations de patients se sont associées à ces recommandations car certains pateints souhaitent rentrer chez eux au plus tôt ou parfois passer le cap à la maison. Ces recommandations permettent donc de cadrer la pratique. je suis certaine qu'un médecin non habitué ne se lancera pas sans filet dans ce type de prise en charge. Je pense qu'on peut leur faire confiance, et on a besoin de tout le monde, de tous les professionnels de santé, de tous les médecins aujourd'hui, pour aider à la prise en charge des malades.
Les associations de patients se sont associées à ces recommandations car certains pateints souhaitent rentrer chez eux au plus tôt ou parfois passer le cap à la maison. Ces recommandations permettent donc de cadrer la pratique. je suis certaine qu'un médecin non habitué ne se lancera pas sans filet dans ce type de prise en charge. Je pense qu'on peut leur faire confiance, et on a besoin de tout le monde, de tous les professionnels de santé, de tous les médecins aujourd'hui, pour aider à la prise en charge des malades.
Journaliste QDM (PT)
Bonjour Madame,
Les affections hivernales des enfants, respiratoires, éruptives, vont prendre place dans un contexte particulier qui va poser en arrière plan une possible atteinte Covid-19. Existe-t-il des recommandations particulières ? Merci.
Les affections hivernales des enfants, respiratoires, éruptives, vont prendre place dans un contexte particulier qui va poser en arrière plan une possible atteinte Covid-19. Existe-t-il des recommandations particulières ? Merci.
Pr Dominique Le Guludec
Il est évident que sur un plan clinique, il sera très difficile de faire la part entre une grippe et une Covid. Rappelons que chez les enfants, les TROD antigéniques de la grippe existent et nous avons émis un avis sur l'utilisation des tests multiples en période d'épidémie grippale. Il peut donc être effectué soit un test PCR double (Covid et grippe) ou un test antigénique grippe associé à un test antigénique Covid (ce dernier devant être prélevé en naso- ou oro-pharyngé).
-- Soph63
Pourquoi avoir enlevé ne serait ce que la possibilité aux généralistes de prescrire de l'hydrochloroquine puisque c'est un médicament connu depuis 40 ans au moins, même si pour l'instant il n'y a pas la preuve de son efficacité?
-- Mf21
Je trouve toujours inadmissible qu'en début de Covid déclaré on continue de laisser les gens chez eux avec pour toute recommandation quarantaine, repos et doliprane! Je trouve cela criminel (j'ai malheureusement l'exemple de plusieurs personnes qui sont ainsi décédées chez elles...) et heureusement de nombreux médecins généralistes proposent des traitements dont leur expérience terrain leur prouve, sans les guérir, qu'ils améliorent l'état des malades. Merci de me dire quel est votre point de vue sur ce sujet ?
Pr Dominique Le Guludec
La liberté de prescrire a toujours existé en France et elle a persisté en temps de Covid. Néanmoins, la Haute Autorité de santé a toujours eu comme ligne de conduite des prescriptions fondées sur les preuves. Il est très frustrant de n'avoir pas de traitement autre que symptomatique à proposer à nos patients. Néanmoins, les études qui ont été effectuées depuis le début de l'épidémie ne montrent pas d'avantage sur l'évolution de la maladie. La balance bénéfice risque n'est pas en faveur de la prescription d'HCQ. Certaines études suggèrent même un risque accru pour les patients, tant en préventif qu'en curatif.
J'en profite pour rappeler qu'aujourd'hui, seuls les gestes barrières ont démontré leur efficacité préventive, et que bien qu'ils soient lourds à assumer pour tout le monde, ils constituent notre principal outil de maîtrise de l'épidémie encore aujourd'hui en attendant les vaccins.
J'en profite pour rappeler qu'aujourd'hui, seuls les gestes barrières ont démontré leur efficacité préventive, et que bien qu'ils soient lourds à assumer pour tout le monde, ils constituent notre principal outil de maîtrise de l'épidémie encore aujourd'hui en attendant les vaccins.
Journaliste QDM (SL)
NXK27
Bonjour. Un soignant cas contact doit-il continuer à travailler s'il est asymptomatique ? Je ne trouve aucun document officiel à ce sujet. Or, les hôpitaux semblent dire que le personnel doit continuer à travailler. Merci pour votre réponse.
Pr Dominique Le Guludec
Tout cas contact doit avoir un isolement d'une semaine. Le HCSP a émis la possibilité de cas exceptionnels en cas de manque majeur de médecins sur le terrain.
Docteur R
Que pensez-vous des résultats obtenus par Pfizer sur son vaccin Covid ? Avez-vous des données supplémentaires ? Que penser des travaux russes sur un vaccin Covid ?
Pr Dominique Le Guludec
Les résultats intermédiaires communiqués par Pfizer sont une source de grand espoir. Il s'agit d'une série avec encore un recul limité, d'un peu plus de 5 semaines, mais qui semble montrer la possibilité d'une protection efficace à court terme au moins. Il y a de très nombreux essais cliniques en cours dont plusieurs en phase III. Il y a lieu d'espérer une protection au moins à court terme. Nous attendons avec impatience d'avoir les données des industriels afin de les évaluer au plus vite. Nous avons travaillé depuis plusieurs mois sur une stratégie vaccinale qui devra bien sûr être adaptée en fonction des spécificités des vaccins et de leur efficacité. Mais cette anticipation nous permettra d'être plus réactifs dès que des autorisations de mise sur le marché seront obtenues.
Quant au vaccin russe, nous ne nous prononçons pas sur des produits sur lesquels nous n'avons pas de données et que nous n'avons pas évalués.
Quant au vaccin russe, nous ne nous prononçons pas sur des produits sur lesquels nous n'avons pas de données et que nous n'avons pas évalués.
Nanouche médecin du travail d'hôpital
Nos directions souhaitent permettre aux personnels Covid + asymptomatiques ou pauci-symptomatiques d'avoir le choix de poursuivre leurs activités professionnelles, afin de pallier le manque RH dans les services. Qu'en pensez-vous ? En vous remerciant.
Pr Dominique Le Guludec
La règle générale est de s'isoler une semaine. Comme je le signalais tout à l'heure, le HCSP a autorisé une exception en cas de tension exceptionnelle sur les soignants. Cette décision ne peut être prise qu'en concertation avec son encadrement.
Journaliste QDM (SL)
Sophie63
Vous parlez du test oropharyngé pour les enfants, est-ce aussi possible pour les adultes ?
Pr Dominique Le Guludec
Pour les test PCR, le prélèvement oropharyngé est possible pour les enfants ou les adultes qui ne supportent pas le prélèvement nasopharyngé. La HAS a rendu un avis en ce sens le 25 septembre. Attention, il s'agit d'un prélèvement aussi profond.
JLCB
Quelle est la position de la HAS vis-à-vis des malades du Covid guéris et donc immunisés ? Y a-t-il des raisons médicales pour continuer à les confiner ?
Pr Dominique Le Guludec
Il n'y a pas encore à ce jour de données suffisantes sur la durée de la protection après une première infection. Il est donc difficile aujourd'hui de définir pendant combien de temps le patient ne peut pas être porteur et donc non contagieux. Dès le printemps, nous nous sommes exprimés sur l'absence de "passeport immunitaire" et nous n'avons pas assez de données pour modifier notre avis. J'en profite pour rappeler que tous nos avis sont extrêmement évolutifs en fonction de l'avancée la science. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle a été très riche cette année.
Milo
Quel antibiotique dès les premiers signes respiratoires ? Faut-il prescrire ? Est-ce que le Solupred a une indication dans cette phase si essoufflement toux fièvre ? Et si oui, à quelle posologie et combien de temps ?
Pr Dominique Le Guludec
Aucun antibiotique n'est à prescrire sauf surinfection bactérienne documentée.
Aucun corticoïde n'est à prescrire chez des patients ne requérant pas d'oxygène.
Aucun corticoïde n'est à prescrire chez des patients ne requérant pas d'oxygène.
-- MG91
Allez-vous rendre obligatoire le vaccin contre le Covid lorsque celui-ci sera disponible ?
Yannick Jadot d'EELV s'est dit favorable à cette mesure. Qu'en pensez-vous ?
Yannick Jadot d'EELV s'est dit favorable à cette mesure. Qu'en pensez-vous ?
-- marode
les personnes agées ayant fait un COVID sans gravité, seront-ils également à vacciner?
Pr Dominique Le Guludec
La HAS a soumis des recommandations intermédiaires en consultation publique lundi dernier. En attendant les réponses, elle ne recommande pas l'obligation vaccinale à ce stade pour deux raisons : le recul modeste qui sera disponible d'une part, et l'approvisionnement progressif de la France en doses de vaccin impliquant une priorisation des populations à vacciner.
La priorisation des personnes à vacciner est en cours de travail, cela fait partie des questions soumises en consultation publique jusqu'au 30 novembre. Concernant les personnes âgées ayant fait un Covid sans gravité, il n'est pas encore possible de déterminer si elles sont protégées, et combien de temps.
La priorisation des personnes à vacciner est en cours de travail, cela fait partie des questions soumises en consultation publique jusqu'au 30 novembre. Concernant les personnes âgées ayant fait un Covid sans gravité, il n'est pas encore possible de déterminer si elles sont protégées, et combien de temps.
RK
Bonjour
Y a-t-il un intérêt au vaccin de la grippe dans la protection de la Covid-19 ? Merci
Y a-t-il un intérêt au vaccin de la grippe dans la protection de la Covid-19 ? Merci
Pr Dominique Le Guludec
Certains travaux ont suggéré une protection croisée sans qu'il soit possible de conclure encore. Les populations à risque de forme grave sont les mêmes pour la grippe et la Covid. Nous ne pouvons que recommander qu'elles se fassent vacciner contre la grippe.
FBrune
Quelle est la place du test antigénique dans la stratégie du dépistage Covid-19 ?
Pr Dominique Le Guludec
La HAS a émis un avis le 9 octobre concernant les indications des tests antigéniques. On sait actuellement qu'ils sont fiables chez les patients symptomatiques s'ils sont réalisés dans les 4 premiers jours après le début des symptômes. Ils sont également utiles pour des dépistages ciblés à large échelle afin de débusquer des clusters. On manque actuellement de données chez les patients asymptomatiques en dehors du dépistage ciblé.
Journaliste QDM (PT)
Ce Live chat est sur le point de se terminer. Dernière question...
-- Dr54
On a peu entendu la HAS pendant la 1re vague alors que les soignants se contaminaient et maintenant on a des recos presque tous les jours. Pourquoi ?
Pr Dominique Le Guludec
Nous avons produit plus de 70 avis pendant cette crise dont la moitié au moins pendant la première vague. Les premiers avis datent de début mars, les réponses rapides ont suivi très vite. Nous n'avons pas arrêté de sortir des avis tout au long de l'épidémie, nous avons mis à disposition une veille sur tous les traitements. Nous avons un dossier spécial Covid sur notre site, qui est actualisé en permanence et que je vous invite à consulter.
Journaliste QDM (SL)
Merci Pr Le Guludec d’avoir participé à ce Live chat avec les lecteurs du « Quotidien ». Le mot de la fin ?
Pr Dominique Le Guludec
Merci à vous de m'avoir invitée. J'espère avoir contribué à éclairer vos lecteurs dans cette période bien compliquée.
Journaliste QDM (SL)
Merci à toutes et à tous pour votre participation. Rendez-vous dans les prochaines semaines pour un nouveau Live chat.
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