UNE ÉTUDE chez 1 300 participantes au marathon de Londres en 2 012 montre qu’un tiers d’entre elles souffrent de mastodynies. Leur intensité est plus forte avec la taille de bonnet et la nulliparité. Plus de la moitié des sportives ayant un bonnet de taille F sont concernées par rapport à un quart chez celles ayant un bonnet de taille A. La moitié des participantes déclarent des douleurs liées au cycle mais seulement un tiers les relient de façon exclusive au facteur hormonal. La moitié des participantes rapportent des mastodynies lors d’un exercice modéré, et 2/3 d’entre elles lors d’une pratique soutenue. Plus d’un quart des marathoniennes ayant des mastodynies ont déclaré avoir réduit leur activité pour diminuer leurs douleurs, et un cinquième ont déjà annulé des séances d’entraînement. Une sportive sur 5 a déjà essayé de soulager ces symptômes à l’aide d’un soutien-gorge spécifique pour le sport. Pourtant 9 marathoniennes sur 10 disent déjà en porter lors de la course, « ce qui signifie que le design et la confection des soutiens-gorge doivent être améliorés ». Parmi les autres petits « trucs », certaines optent pour la solution médicamenteuse antalgique, d’autres se tiennent les seins en courant.
BMJ, publié en ligne le 19 avril 2013.
DJ et médecin, Vincent Attalin a électrisé le passage de la flamme olympique à Montpellier
Spécial Vacances d’été
À bicyclette, en avant toute
Traditions carabines et crise de l’hôpital : une jeune radiologue se raconte dans un récit illustré
Une chirurgienne aux nombreux secrets victime d’un « homejacking » dans une mini-série