« Même avant la ROSP, j’avais déjà l’habitude de prescrire en DCI. Cependant, il est vrai que ce dispositif m’a incité à être plus vigilant notamment pour la prescription des IPP. J’essaie en outre de me tenir informé sur les molécules qui passent dans le domaine du générique. Et même quand je ne savais pas qu’un tel médicament – c’était le cas de l’Ixprim - existait en générique, la bonne coordination avec les pharmaciens de notre pôle de santé nous a permis d’optimiser mes résultats qui ont été très bons. Sauf pour les hormones thyroïdiennes et les anti-épileptiques, je ne marque jamais non substituable sur mes ordonnances. Pour les autres médicaments, mon travail c’est de prescrire une molécule, ensuite c’est au pharmacien de délivrer. Toutefois j’exige que l’État garantisse la qualité de médicaments génériques. »
Dr Thomas Bourez*
« J’ai l’habitude de prescrire en génériques »
Publié le 03/05/2013
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*Généraliste dans une MSP qui fait partie d’un pôle de santé à Val-de-Reuil (Eure)
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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