La dyslipidémie du diabète de type 2 et du syndrome métabolique est très fréquente et participe à l’augmentation de la morbi-mortalité cardiovasculaire observée dans cette population. Et, malgré les bénéfices apportés par les statines chez ces patients, leur risque cardiovasculaire reste élevé. Les modalités de prise en charge de cette dyslipidémie athérogène restent mal établies. Le recours aux fibrates a donné des résultats divergents entre les méta-analyses positives et l’étude Prominent négative. Pour les omégas 3, l’effet très positif à fortes doses rapporté dans l’étude Reduce-It est venu contredire l’absence d’effet significatif observé dans une méta-analyse de dix études. Quant aux antidiabétiques, un possible effet direct du liraglutide et de bi-agonistes GLP-1 GIP sur le métabolisme lipidique est suggéré par des études récentes. Mieux comprendre la physiopathologie de cette dyslipidémie pour définir de nouvelles cibles thérapeutiques reste essentiel.
Comment réduire le risque cardiovasculaire résiduel ?
Par
Publié le 21/04/2023
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
Dr Isabelle Hoppenot
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du médecin
Article précédent
DT1 : un risque psychiatrique à évaluer
Article suivant
Fumer favorise le diabète
Une photographie du diabète en France
On peut prévenir le diabète de type 1
Concilier technologique et écologique ?
Charge mentale et boucles fermées
DT1 : un risque psychiatrique à évaluer
Comment réduire le risque cardiovasculaire résiduel ?
Fumer favorise le diabète
Quand la plaie est infectée
Les SMS du congrès SFD 2023
Dr Patrick Gasser (Avenir Spé) : « Mon but n’est pas de m’opposer à mes collègues médecins généralistes »
Congrès de la SNFMI 2024 : la médecine interne à la loupe
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024
La myologie, vers une nouvelle spécialité transversale ?